En plus de la mini console, l’ensemble comprend également 2 contrôleurs pleine grandeur (sans contrôleurs analogiques), un câble d’alimentation micro-USB (sans alimentation) et un câble HDMI pour le connecter à un téléviseur ou un moniteur. Sur le dessus de la console se trouvent les 3 touches : reset, power et la touche d’ouverture (qui sert à changer virtuellement les disques, quand la console vous demande de ne rien faire mais d’appuyer sur la touche d’ouverture et de continuer vos aventures comme dans le cas du Metal Gear Solid). Les deux contrôleurs se connectent à la place avec un USB classique masqué à l’entrée du contrôleur, il n’y a évidemment aucune carte mémoire à insérer. Évidemment, vous pouvez sauvegarder le jeu grâce à 15 machines à sous virtuelles différentes. Le menu principal joue sur l’effet nostalgie car toutes les icônes sont pixélisées ainsi que les boutons sur l’écran. Une fois que vous démarrez le jeu, vous constaterez que la lecture du titre a deux bandes noires à droite et à gauche, c’est parce que les jeux de l’époque fonctionnaient sur les téléviseurs en 4:3 alors que les écrans modernes ont un ratio de 16:9 ou 21:9 pour les écrans. En tout état de cause, 9 jeux sur 20 fonctionnent à 50 Hz en Europe et en Amérique du Nord, bien que les versions NTSC bénéficient d’une compatibilité totale avec 60 Hz. Peut-être que 99 sont autant pour un émulateur même s’il est bien construit, c’est pourquoi pas un modèle adapté à tous, en fait le public cible sur lequel cette console est basée sont les joueurs nostalgiques comme moi. Recommandé uniquement pour les vrais passionnés !